Les limites dans la vie ? Seulement celles définies par nous-même
Lors d’une soirée entre amis, mais avec des vrais amis qui restent à vie et qui partagent tous le temps les mêmes délires que nous au quotidien, le projet « Emajinarium » m’a été dévoilé et l’histoire racontée.
Déjà j’ai été bouche bée avec l’imagination de l’histoire qui m’a fait voyager sur place instantanément. Quelle créativité… Puis on m’a expliqué l’idée de mélanger bénévolement plusieurs corps de métier (danseurs, musiciens, circassiens, maquilleuses, acteurs, bref, tout ce qu’il faut pour faire un vrai spectacle de qualité professionnelle. Le tout de façon bénévole). Et j’ai été sidéré. Incroyable… Quel projet!!! Et à la fin, on m’a proposé d’y participer, avec une place dans un rôle déjà pensé pour moi. Quel honneur, quel plaisir, quel privilège d’avoir pensé à moi et de pouvoir ainsi participer et contribuer à ce projet tellement immense et magique.
Il se base dans la culture du collectif Free Spirit, avec lequel je m’identifie, où le partage, l’humilité, la solidarité, l’écoute, l’échange, la créativité, l’envie de toujours oser et la soif de faire plus font partie de la base pour élaborer tous les projets artistiques autour de thèmes pertinents et actuels avec le but principal d’aider les enfants victimes du SIDA et leur orphelinat situé au Congo.
Dès le début de l’aventure, ce projet est devenu une addiction: que des rencontres avec des gens talentueux et une création constante sans limite, tous ensemble, autour de l’histoire. Aussi, il faut le dire, l’équipe de l’organisation est incroyable.
Bref, une expérience inoubliable au niveau humain et artistique, et je garde que des bons souvenirs de toutes ces superbes rencontres.
Je tiens à remercier Spawn d’avoir pensé à moi pour participer à cette aventure et d’avoir toujours toutes ses idées. Bravo. Continue. N’arrête jamais. On sera toujours là. Merci.
Ainsi, les limites dans la vie?… Seulement celles qui sont définies par nous même. Alors soyons créatifs, car le plus difficile c’est de ne pas rester à la périphérie du cercle de la vie.
Daniel Martins